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A l’annonce du diagnostic plusieurs sentiments apparaissent. Souvent un soulagement : « je savais que ce n’était pas RIEN », suivi d’un questionnement « et maintenant on fait quoi ? »
D’abord on respire 😜 et ensuite on y va un pas après l’autre…
C’est vrai, on le sait, on ne doit pas faire perdre trop de temps à notre enfant pour lui donner le plus de chance possible de progresser lorsqu’il est encore petit et que la plasticité cérébrale est encore très importante.
Mais si vous voulez tenir l’endurance, vous devrez également vous accorder le temps de souffler.
L’idée de cet article est de vous donner un maximum d’informations sur l’existant dans la prise en charge de l’autisme afin de vous faire gagner un peu de temps mais surtout d’avoir connaissance des interventions qui sont recommandées par la Haute Autorité de Santé (HAS) dans ce domaine.
Une méthode ou une façon de faire peut ne pas convenir à tous, ni en tout temps.
Ne pas forcer au risque de casser est l’image qui me vient pour vous décrire cette situation.
Cependant ce n’est pas parce que cela est bénéfique à un élève autiste que ce sera le cas pour un autre élève avec un trouble du spectre autistique (TSA). De plus ce n’est pas parce que cela est bénéfique pendant trois mois pour cet élève autiste que ce sera le cas pour toujours !
Accompagner, peu importe la ou les méthodes, c’est adapter de manière régulière en fonction des besoins et de l’évolution de l’enfant.
*Je prends des pincettes avec cet exemple car je ne veux pas que l’on pense que diminuer le temps scolaire soit LA solution.
Les programmes, les interventions, les rééducations, les systèmes, les supports, les outils utilisés… doivent répondre à des objectifs précis. C’est la base qui vous permettra de garder le cap, de réajuster et surtout de mettre du sens à ce qui est proposé.
C’est important car, sans objectifs, vous pouvez vous retrouver avec des interventions dont vous ne verrez pas le bout, vous pouvez aussi ressentir l’impression que la situation stagne, mais vous aurez du mal à le vérifier de façon objective.
Je ne dis pas que les prises en charge doivent, systématiquement, cesser au bout d’un moment. Mais il y a parfois des accompagnements qui ne sont plus pertinents ou alors plus du tout prioritaires par rapport aux besoins urgents de l’enfant et qui, pourtant, sont maintenus par habitude.
Un exemple d’évolution de l’accompagnement pourrait s’articuler autour de la question suivante : Vaut-il mieux poursuivre l’accompagnement en graphothérapie de mon enfant de 12 ans pour améliorer son écriture ou favoriser l’apprentissage de l’ordinateur (ou de la tablette) afin de lui permettre de se concentrer davantage sur autre chose que l’écriture en classe ?
Évidemment il n’y a pas de règle, l’idée est de ne pas oublier que les priorités évoluent !
C’est vous que l’on consulte, c’est vous qui allez prioriser, c’est vous qui éduquez et faites grandir votre enfant.
Par contre vous aurez besoin de vous baser sur l’expertise d’autres personnes pour aider votre enfant. Vous avez aussi besoin d’être entouré(e) de personnes bienveillantes qui vous accompagneront dans votre parcours. Vous allez construire cette équipe et la faire se croiser avec d’autres équipes (scolaire, médicale, etc.) qui se grefferont au parcours de votre enfant.
C’est important car finalement les professionnels qui gravitent autour de votre enfant vont et viennent et vous avez le choix de son parcours (même si dans la réalité les choix sont restreints du fait du manque de place) mais, quand-même, vous pouvez dire non et décider un changement si votre enfant vit mal quelque chose.
Il est FORTEMENT conseillé de réajuster la prise en charge au fil du temps et surtout des évaluations.
Donc l’écoute et l’observation de votre enfant sont de mise 🙂
Ne vous perdez dans les abîmes de la prise en charge.
Cette prise en charge se devant cohérente et pertinente, vous trouverez dans cet article ce qui existe et ce que chaque méthode ou accompagnement apporte.
La prise en charge de l’enfant autiste nécessite une équipe pluriprofessionnelle. Vous et votre enfant seraient amenés à être en lien avec de nombreux praticiens.
La durée et la quantité des interventions variera en fonction des besoins et des priorités mais aussi en fonction de leur organisation : prise en charge en libéral, en milieu institutionnel ou les deux.
Psychologue, neuropsychologue, ergothérapeute, psychomotricien(ne), orthophoniste, éducateur(trice) sont des professionnels que vous serez susceptible d’intégrer à la prise en charge de votre enfant. Pour les découvrir plus en détail n’hésitez pas à lire cet article.
Ils interviennent généralement dans le cadre d’une thérapie ou d’une rééducation avec une approche spécifique à leur domaine respectif.
Voici les thérapies qui existent en France et respectent les recommandations de la haute autorité de santé.
L’ABA (Applied behavorial Analysis / Analyse Appliquées du Comportement) est une approche visant à modifier un comportement ciblé.
On l’utilise dans le cadre d’une intervention avec un éducateur et un psychologue formés à cette démarche scientifique. Ils sont en lien étroit avec les parents.
Elle a pour objectif de développer des compétences sociales, de communication mais aussi des compétences liées à l’autonomie dans le quotidien.
Pour cela, des procédures (telles que la guidance, l’incitation, le chaînage etc..) et un système de récompense (renforcement) sont établies après avoir mesuré et analysé le comportement ciblé.
L’avantage de cette approche est qu’à travers ce qu’on appelle une analyse fonctionnelle, l’on peut comprendre la raison sous-jacente au comportement de l’enfant (souvent difficile à interpréter lorsque l’on connaît mal l’autisme). Ce qui permet de mettre en place des stratégies plus pertinentes pour aider chaque enfant à développer les compétences citées précédemment.
De plus, elle permet de répondre à des objectifs précis, avec une démarche claire qui peut être définie dans le temps. On sait ce que l’enfant travaille, pourquoi, comment, avec qui et où.
Elle peut être utilisée dans les différents lieux que l’enfant investit.
Cette approche structurée et individualisée nécessite un certain nombre d’heures d’interventions par jour pour être efficace.
Une formation et une supervision sont nécessaires pour intervenir dans ce cadre.
L’ESDM (Early start Denver Model / le modèle de Denver) est un programme d’intervention précoce, intensif (15 à 20 heures par semaine) et individualisé pour les enfants avec autisme entre 1 et 5 ans.
Bien que ce programme se base sur les principes de l’ABA, il met l’accent sur l’importance de l’interaction sociale et du jeu.
A travers des activités ludiques l’enfant sera donc stimulé pour développer différents domaines comme la communication, la motricité fine, la résolution de problèmes, la régulation émotionnelle et la socialisation.
Par ailleurs, des évaluations régulières permettent de faire progresser les objectifs et ajuster l’accompagnement.
C’est une équipe pluridisciplinaire (psychologue, éducateur, orthophoniste, psychomotricien, médecin etc.) spécialisée à l’autisme et formée au modèle de Denver qui assure l’accompagnement.
Les parents sont également encouragés à se former et participer à la thérapie pour aider leur enfant à généraliser les compétences acquises dans d’autres environnements.
La principale difficulté liée au modèle de Denver est qu’en France, malheureusement, il n’y a pas encore assez de professionnels formés. Il est donc difficile (mais pas impossible) d’associer ce modèle à la prise en charge malgré les préconisations pour cette méthode chez les jeunes enfants avec un TSA .
Le TEACCH (treatment and education of autistic and communication handicapped children / traitement et éducation des enfants autistes et en situation de handicap en matière de communication) se base sur une approche individualisée prenant en compte les besoins et les compétences des enfants et adultes autistes.
Le TEACCH se concentre sur la création d’un environnement d’apprentissage structuré et visuel, en vue d’aider la personne à mieux comprendre son environnement et à organiser sa journée.
Les activités sont présentées de manière séquentielle, claire et prévisible.
Exemple de structuration des apprentissages en TEACCH
Le TEACCH n’est pas considéré comme une approche comportementale pour la prise en charge de l’autisme car il met l’accent sur les aspects environnementaux plutôt que comportementaux. Ce qui n’exclut pas l’impact sur le comportement puisqu’il met à disposition de la personne les moyens de comprendre son environnement et de gérer ses émotions.
Tout comme les autres approches, l’objectif est d’aider les personnes autistes à développer leurs compétences sociales, comportementales et cognitives pour maximiser leur potentiel et leur qualité de vie.
Le TEACCH peut être utilisé partout. Tant à l’école qu’à la maison, mais aussi dans d’autres lieux investis par l’enfant. Pour l’adulte, il est applicable également dans son milieu professionnel et de formation.
Des professionnels spécialisés élaborent un programme en collaboration avec la famille afin d’être au plus près des besoins de l’enfant.
L’association des méthodes TEACCH et ABA ou Denver est possible et peut apporter une complémentarité.
Les ILLICO’PICTO créés sur ce site s’appuient sur cette méthode pour soutenir les apprentissages.
Par ailleurs, encore une fois, il est important d’insister sur le fait qu’il se peut qu’une approche soit efficace à un moment, dans un domaine ou plusieurs domaines mais pas dans d’autres, ni pour toujours.
Pour cela soyez bien à l’écoute de votre enfant et en lien avec les professionnels afin d’ajuster la prise en charge.
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Par communication il faut comprendre :
Il y a différentes façons de recevoir ou exprimer un message.
Cela peut se faire à l’oral, à l’écrit, par le geste, l’illustration, la photo, l’objet, etc.
Les supports peuvent être multiples.
Certains enfants, par exemple, ne parlent pas, mais sont capables de vous faire comprendre clairement ce qu’ils veulent.
Votre enfant peut vous tirer par le bras pour attirer votre attention et montrer du doigt la télé ou encore vous donner la télécommande et pointer la télé, il utilise le langage expressif. Vous comprenez qu’il souhaite allumer la télé, vous employez le langage réceptif.
Certains enfants autistes utilisent “la parole” sans qu’elle ne soit un but de communication. Ils peuvent par exemple chanter des chansons, répéter des mots ou des phrases entendus (écholalie), sans que cette oralisation ne corresponde à son contexte.
Un enfant qui n’arrive pas à utiliser le langage peut se mettre à crier, pleurer ou se jeter par terre.
Un parent qui ne comprend pas et tente d’aider son enfant à se calmer en proposant un dessin animé peut induire inconsciemment une forme de langage expressif involontaire : crier = je regarde un dessin animé.
Un comportement non adapté est, de ce fait, renforcé.
Travailler la communication de l’enfant TSA lui permettra :
Comprendre où se situent les difficultés de votre enfant vous aidera à mettre en place les bons outils. Les pictogrammes sont souvent d’un grand soutien dans le travail de la communication mais d’autres outils existent. Il convient avant tout de réaliser une évaluation des besoins et du profil de l’enfant pour mesurer quel support lui conviendrait le mieux. Pour cela, il est nécessaire de se rapprocher d’un professionnel formé.
Le CRA peut éventuellement vous mettre à disposition une liste des orthophonistes formés et spécialisés dans les troubles du neuro-développement (TND) et même plus spécifiques aux TSA.
Par ailleurs d’autres professionnels (éducateurs, psychologues etc.. ), et vous-même, à condition d’être formés, pouvez travailler la mise en place d’une communication avec votre enfant.
La plateforme bleu network est un service gratuit qui met en relation les familles avec des professionnels formés à l’autisme.
Le programme Floortime qui est un bon moyen d’initier un travail sur les interactions, la communication et les émotions. C’est une méthode intéressante que l’on peut facilement commencer le temps qu’une prise en charge complète se mette en place pour son enfant.
Le Floortime est un programme structuré et individualisé.
Il a été créé par des parents pour des parents qui ont démontré qu’avec de l’observation, en vous concentrant sur les intérêts de votre enfant et en saisissant l’instant présent vous pouvez accompagner votre enfant vers une évolution. Ce programme intervient tant sur le développement affectif de l’enfant que sur les retards développementaux.
Un guide traduit en français est mis à disposition sur le site de la fédération québécoise de l’autisme.
Selon les recommandations de bonne pratique de l’HAS, le Flooretime ne doit pas être utilisé de façon exclusive dans la prise en charge de l’enfant. Si vous souhaitez l’y intégrer, il faut s’assurer que ce soit dans le cadre d’un projet d’interventions coordonnées.
Certains enfants autistes ont besoin d’outils pour communiquer, soit pour pallier au langage verbal soit pour renforcer celui-ci.
Pour cela il existe plusieurs systèmes de communication que l’on dit alternatifs et augmentatifs (Les CAA).
On gardera en tête que les CAA n’empêchent en rien l’enfant de développer son langage verbal s’il en a la possibilité, il a même été observé que les CAA peuvent aider à développer celui-ci.
Le PECS est un système de communication, alternatif et augmentatif, par échange d’images. Il aide, entre autres, à développer les habiletés de communication des personnes autistes.
Le programme est à la portée de tous, une formation est obligatoire car il y a un processus à respecter pour atteindre les objectifs.
Son protocole s’appuie sur les principes de l’analyse appliquée du comportement (l’ABA) et se décline en 6 Phases.
Les recherches ont montré que le PECS a aussi permis à beaucoup de personnes de développer le langage verbal.
Le Makaton est un programme d’aide à la communication et au langage qui utilise la parole, le signe et/ou les pictogrammes.
Il se compose de plus de 450 signes et symboles, chacun représentant un mot ou une phrase.
Il est souvent utilisé en combinaison avec la parole pour aider les personnes à comprendre et à communiquer plus efficacement.
Les signes et symboles sont généralement introduits progressivement, en commençant par des signes simples et en ajoutant progressivement des signes et des symboles plus complexes.
Le Makaton peut être utilisé dans une variété de contextes, y compris à la maison, à l’école, en centre de loisirs etc. Il peut aider les personnes ayant des difficultés de communication à exprimer leurs besoins et leurs désirs, à comprendre les instructions et les informations, et enfin à interagir avec les autres de manière plus efficace.
Le PODD est aussi un système de communication alternatif et augmentatif, il est traduit en français par Tableau Dynamique à Organisation Pragmatique.
Comme son nom l’indique, il se présente en Tableau dynamique dont les pictogrammes sont organisés de façon stratégique.
L’objectif étant d’acquérir une communication autonome, c’est un système qui se veut évolutif et personnalisé pouvant être utilisé en format papier ou numérique.
Il est possible soit de se former ou de se faire superviser pour la mise en place de ce système par des professionnels formés.
La langue des signes peut aussi être un bon support quoi qu’il en soit, le mieux est d’en parler avec votre orthophoniste et les autres professionnels qui vous entourent pour vous aider à définir le moyen le plus adapté et pertinent pour votre enfant.
Les habiletés sociales sont un ensemble de compétences qui nous permettent d’interagir avec nos pairs de manière efficace et appropriée dans différents contextes sociaux.
Par exemple, la capacité à attendre son tour pour monter sur la balançoire ou pour prendre la parole. Ou encore varier les sujets de conversation, faire des choix, interpréter le langage non verbal chez autrui, etc.
Cependant l’acquisition des habiletés sociales ne se fait pas naturellement pour un enfant autiste. Il a besoin de comprendre, d’apprendre et s’y entraîner pour pouvoir ajuster ses réponses à la situation sociale qui se présente.
C’est pour pallier aux difficultés liées à ces compétences qu’ont été créés des GEHS.
Ils peuvent être animés par différents professionnels comme des orthophonistes, des psychologues ou neuropsychologues, des éducateurs(trices) et des psychomotricien(ne)s.
En binôme ou solo les professionnels accueillent un ou des groupes d’enfants d’une même tranche d’âge, avec un niveau cognitif et de langage similaire.
Ces groupes sont très utiles car les personnes autistes ont besoin d’apprendre et comprendre certains codes qui n’auront pas été acquis pendant leur développement.
Ainsi dans un cadre sécurisé et avec d’autres enfants ayant des difficultés similaires, ils pourront partager leur expérience, obtenir des pistes et des “recettes” qui leur permettront d’améliorer leur capacité à interagir avec les autres de manière efficace et appropriée.
L’enfant peut aussi être entraîné aux habiletés sociales par ses parents ou un professionnel en individuel.
On peut aussi se saisir de la fratrie, de la famille, de lieux comme la ludothèque (sur des créneaux avec une petite affluence) ou tout autre endroit propice à ces apprentissages.
Cette liste n’est pas exhaustive mais est déjà une bonne base pour découvrir ce qu’il est possible de mettre en place pour accompagner son enfant. Si vous connaissez d’autres méthodes ou avez constaté les progrès de votre enfant avec une des méthodes citées, n’hésitez pas à en parler en commentaire, cela aidera les parents qui sont encore en recherche d’une prise en charge à voir l’avenir de manière plus positive.
Il faudra s’armer de patience et de courage, informez-vous et formez-vous autant que vous le pourrez. Rapprochez vous des associations locales qui vous soutiendront et vous conseilleront, n’hésitez pas à vous faire accompagner et surtout prenez soin de vous pour pouvoir garder le cap autant que possible.
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5 réflexions sur “Autisme : les interventions psycho-éducatives et développementales”
Super article bravo à vous! En tant qu’enseignante en maternelle je le trouve très pertinent et peut aider beaucoup de professionnels de l’éducation à mieux appréhender l’autisme, à mieux comprendre certains fonctionnement de certains enfants et donc à pouvoir proposer des ateliers qui leur seront un peu plus adaptés. Merci!
Merci Farah ❤️
Un grand merci pour ton blog si riche. Je suis aesh et je trouve dans tes pages plein de choses dont j’ai besoin au quotidien pour améliorer ma prise en charge auprès de mes élèves. Bravo et encore merci.
bonjour, auriez vous des « adresses » à contacter pour ces groupes GEHS dans l’herault svp
Bonjour Sofy, non, je n’ai pas d’adresse, je ne suis pas de cette région. Rapprochez vous du CRA du Languedoc-Roussillon, j’ai vu que des GEHS étaient proposés dans le secteur de Montpellier. Contactez également les associations du secteur ou encore le pédopsychiatre de votre enfant. Il y a de plus en plus de groupes d’entrainements aux habiletés sociales un peu partout en France. N’hésitez pas à mettre votre enfant sur liste d’attente à plusieurs endroits.